Le premier ministre se demande où le chef de l’Etat aurait pu aller déposer sa candidature en 2017, s’il n’avait pas respecté l’avis du conseil constitutionnel. Sa façon à lui, d’expliquer et de légitimer le choix du Président de la République: « Si le Président Macky Sall n’avait pas respecté l’avis du Conseil constitutionnel, où allait-il déposer son dossier de candidature en 2017 ? Et c’est aussi valable pour tous les autres candidats», a indiqué Mahamad Boun Abdallah Dionne dont les propos sont rapportés par le journal L’As.
De son avis, « Macky Sall n’est pas un pouvoiriste et c’est pourquoi, dans les 15 points de réforme, il s’agit de partager des pouvoirs à lui, confiés par la constitution».
Avec Setal.net