Le ministre s’est dit convaincu que les auteurs seront châtiés à la hauteur de leurs actes. « Le Sénégal est un État de droit où la liberté de presse est un acquis fondamental consacré par la Constitution. Je demeure, par conséquent, convaincu que les suites appropriées seront réservées à la plainte déposée pour que les auteurs de ces actes répréhensibles soient traduits devant la justice », lit-on sur son communiqué.
Il a, pour finir, appelé à la retenue et au sens des responsabilités de tous pour que les efforts de notre pays, résolument déployés vers la lutte contre la covid-19, ne soient pas affaiblis par des pratiques aussi abjectes.