Des femmes et des enfants abandonnés, des mandats qui passent de 200 000 ou 300 000 à 30 000 F cfa, des enfants d’expatriés renvoyés des écoles privées entre autres, les familles des émigrés basées au Fouladou souffrent au quotidien. C’est ce que révèle Madame Khadiyatou Diallo présidente de l’association des familles et enfants des émigrés à Kolda. Elle lance un appel à l’Etat et aux bonnes volonté pour accompagner leur association qui œuvre pour l’amélioration des conditions de vie de ces familles impactées par la crise sanitaire liée à la covid.