Vingt jours après le démarrage, la campagne de commercialisation de l’arachide n’a pas atteint sa vitesse de croisière au Fouladou. Le rythme est encore timide. Les raisons? C’est parce que les producteurs n’ont pas encore fini de récolter. L’essentiel de la production se trouve dans les champs.
Toutefois, avec la bonne pluviométrie enregistrée cette année, le monde rural parle de production de record et se félicite déjà de la présence des privés dans le marché. Ce qui, de l’avis des producteurs, présage une campagne avantageuse pour eux.
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