vendredi, mars 29, 2024

Afrobasket: Le directeur technique du Sénégal victime de vol

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De la double casquette de l’ailière Ndèye Sène – elle a tâté de la lutte avant de se révéler bonne basketteuse – au manque d’engouement des Mozambicains pour l’Afrobasket, en passant par la forte présence de journalistes sénégalais à Maputo et le vol dont a été victime le DTN national Ado Sano: voici quelques échos de l’Afrobasket féminin (20 au 29 septembre).

Lutteuse : l’ailière des Lionnes Ndèye Sène n’est pas seulement talentueuse au basket-ball. La reine de la dernière saison de basket-ball est aussi bonne lutteuse. Ndèye Sène ne dispose pas de licence certes, mais la capitaine du Saint-Louis basket-ball fut une très grande lutteuse. L’ailière des Lionnes a révélé qu’elle se rendait souvent à la plage pour lutter avec les hommes de sa génération. Elle en a tiré une gloire relative et éphémère. D’où son surnom  » Doolé (la force, en langue nationale wolof. En équipe nationale en tout cas, la reine continue de dévoiler ses talents de lutteuse mais sur le parquet.

Journalistes : la presse sénégalaise est bien représentée à l’Afrobasket basket-féminin 2013 de Maputo (Mozambique). Au total, quinze journalistes sénégalais ont accompagné les Lionnes. La Radiodiffusion télévision sénégalaise (RTS) compte le plus de reporters, avec une équipe de six personnes (journalistes, cameramen et monteur). La 2STV et la TFM, principales chaînes privées sénégalaises, ont chacune envoyé deux journalistes. L’Agence de presse sénégalaise (APS), le quotidien national Le Soleil, le quotidien sportif Stades, L’Observateur et le site d’informations sportives Sportsénégal.com ont également dépêché chacun un journaliste. Comme dans les autres compétitions, les journalistes sénégalais habitent ensemble à l’hôtel  » Tamariz, un établissement du centre de Maputo. Dans une bonne ambiance, ils s’attellent à rendre compte de l’Afrobasket 2013 du mieux qu’ils peuvent.

Hôtel VIP : le comité d’organisation de l’Afrobasket féminin a logé toutes les équipes, à l’exception du Mozambique, dans un même hôtel. Situé à trois minutes du stade de la compétition, cet hôtel VIP offre toutes les commodités aux différentes délégations. Les équipes cohabitent ensemble sans difficultés majeures. Dans une ambiance bon enfant, elles prennent leurs repas à tour de rôle dans les restaurants de cet établissement. La sécurité de l’hôtel, très discrète, filtre les entrées et venues de cet ébahissement quatre étoiles.

Vol : le directeur technique national du basket-ball sénégalais, Ado Sano, ne va sans doute pas oublier de sitôt l’Afrobasket féminin. Lui qui a eu la mauvaise surprise de se faire voler son sac après la première sortie des Lionnes. Très affecté par ce vol intervenu dans l’enceinte du stade, il a porté plainte dans un commissariat de Maputo, dans l’espoir de retrouver son dû. En attendant, Ado Sano, professeur à l’Institut national supérieur de l’éducation populaire et du sport (INSEPS), se trouve privé de son principal outil de travail.

Public : l’Afobasket-ball féminin ne semble pas beaucoup passionner pour l’instant. Les rencontres, pour la plupart, se déroulent dans des stades quasiment vides, excepté les matchs du pays organisateur qui font naturellement mobiliser du monde. Pour le reste, les Mozambicains ne se bousculent pas pour se rendre au stade. La compétition peine par conséquent à se faire sentir dans la ville de Maputo. Pas d’affichage ni de pancartes publicitaires. Dans les restaurants, les chaînes proposant des programmes de divertissement sont préférées aux télévisions diffusant l’Afrobasket féminin.

APS

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