En 1985, l’alerte était donnée. Les scientifiques venaient d’observer un trou dans, cette partie de la stratosphère qui filtre les rayons ultraviolets, protégeant les êtres vivants. Aujourd’hui, la couche d’ozone irait beaucoup mieux. Dégradée par la pollution, elle serait en train de se reconstituer, notamment grâce au protocole de Montréal adopté en 1987.
Dans ce protocole la communauté internationale avait décidé de mettre fin aux , des substances nocives présentes dans les bombes aérosols et les frigos. Depuis, les dégâts disparaissent.
« Le problème était qu’il y avait des trous dans cette couche qui est en très haute atmosphère et qui nous protège d’une série de bombardements qui nous provoquent des cancers de la peau et des problématique de ce type-là. Et cette couche qui avait un trou, essentiellement au pôle sud, le trou se rebouche progressivement. On peut le dire comme ça », explique Geoffroy De Schutter, directeur de campagne à Inter-Environnement Wallonie au micro de Céline Hurner pour Bel RTL.
Victoire de la mobilisation internationale
D’ici 30 ou 50 ans, la couche d’ozone aura retrouvé le même aspect que dans les années 80.Le trou du pôle sud ne sera plus qu’un lointain souvenir. « La question du trou dans la couche d’ozone démontre que s’il y a une mobilisation internationale volontaire, on arrive à mettre en oeuvre des solutions. Ce qu’on arrive pas à faire au niveau du climat jusqu’à présent. », ajoute-t-il.
Source: RTLInternational