L’option de frappes militaires sur la Syrie est provisoirement écartée. On pourrait se diriger vers un processus de destruction des armes chimiques syriennes. Olivier Lepick, docteur en Histoire et politiques internationales de l’Institut des hautes études internationales de Genève, revient sur cette option.
Des experts des Nations unies chargés de l’enquête sur l’utilisation d’armes chimiques en Syrie, le 28 août dernier près de Damas. REUTERS/Mohamed Abdullah
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Source : Rfi