Nommée Premier ministre, le 1er septembre, par un président de la République se réclamant du » libéralisme, Aminata Touré a longtemps rêvé du » grand soir. Aujourd’hui, elle donne le sentiment d’avoir changé. Renonciation aux idéaux de jeunesse ? Fléchissement stratégique ? Compromis historique avec le » grand capital ? Retour sur le parcours atypique d’une ex-militante révolutionnaire à l’épreuve du pouvoir.
Le Premier ministre sénégalais Aminata Touré, à Dakar, le 2 septembre 2013. REUTERS/Mamadou Gomis
Source: Rfi