Après près de quatre années d’interventions pour promouvoir les droits des femmes catholiques et contribuer à leur autonomisation, le projet VLF présente ses acquis à ses partenaires et les invite à une réflexion sur le devenir de leur compagnonnage pour poursuivre ses activités en faveur de ses membres. C’est à travers une table ronde organisée ce 26 juillet dans la capitale du Fouladou sous la houlette de l’adjointe au Gouverneur de région chargée du développement.
A cette occasion, la coordonnatrice des activités de VLF a décliné les attentes des femmes catholiques. Ces dernières tournent autour d’un certain nombre de besoins qui ont pour noms : « formations en transformation de fruits et légumes, élevage, agriculture entre autres ; accompagnement institutionnel », a listé Madame Antoinette Nzallé Guèye.
Elle en a profité pour plaider en faveur de la fin du bénévolat. C’est pourquoi, elle invite avec insistance les bailleurs à les accompagner davantage pour recruter des ressources humaines qualifiées afin que les membres de l’Union Diocésaine des Associations Catholiques Féminines de Kolda puissent jouer leur partition de façon durable dans cette œuvre nationale de construction d’un Sénégal émergent, démocratique et de paix.
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