Dans ces localités qui gravitent autour de la grande mosquée de Touba, c’est la croix et la bannière pour les pèlerins qui sont obligés de se rabattre sur les charrettes (cheval ou âne) pour espérer accéder à leur maison d’hôtes à défaut de trouver un autre moyen de locomotion.
Au même moment, l’imam Mbaye Niang, conseiller municipal à Keur Niang de déplorer la surexploitation du bassin de rétention sis dans le même quartier. À l’en croire le trop-plein des eaux pluviales fini par se déverser dans leurs habitations. Malgré les efforts du khalife général des Mourides Serigne Mountakha Mbacké, et l’implication effective de la structure « Touba Ca kanam », les inondations restent un casse-tête.