L’eau potable qui est une ressource avec un fort impact social, risque d’être un problème pour le quotidien des millions de dakarois de ses environs, apprend-t-on de source au niveau de la Sones (Société nationale des eaux du Sénégal).
Dans un document de presse élaboré par la Sones, il est apporté quelques indications concernant le projet Momar Sarr (3kms3), objet de la signature d’une convention entre l’état du Sénégal et l’agence française de développement (AFD).
Cette convention est relative aux autres études réalisées lors du dernier recensement qui, selon la Sones, ont montré que « si rien n’est fait, le déficit de pointe de production pour la région de Dakar, notamment pour les localités traversées par la conduite du lac de guiers, s’accroitra pour atteindre 202,017 m3 en 2025 et 390,888 m3 en 2035.
Afin de faire face aux besoins des populations, l’état du Sénégal, à travers la sones, a pu élaborer un plan, d’investissement, qui selon elle, la 3e usine de keur Momar Sarr qui fait partie de ces ouvrages structurants sera implantée dans la région de Louga et aura une capacité finale de 200 000 m3/jour et devra couvrir à l’horizon 2035, les besoins en eau des populations de Dakar.
M.G.Baldé