jeudi, juin 26, 2025

La sublimissime Maïmouna Sao, cinquième épouse de Cheikh Béthio, révèle tout !

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Rendez-vous avait été pris à Touba où elle réside, mais pour des impondérables, l’entretien s’est fait au téléphone. Au bout du fil, c’est une dame, Maïmouna Sao, cinquième épouse de Cheikh Béthio, poussée dans ses derniers retranchements, qui se rebiffe pour éviter de perdre la garde de son enfant. Ironie du sort, le fils chéri de presque trois (3) ans de cette épouse s’appelle Serigne Saliou. Du nom du défunt cinquième khalife de Bamba qui avait béni son mariage avec Cheikh Béthio Thioune en 2007. Une union faite de miel du bonheur et de moment de grâces, jusqu’à ce que le fuel de la division se déverse entre les deux époux en 2011. Aujourd’hui engluée dans une procédure de divorce forcée, Maïmouna Sao 5e épouse de Cheikh Béthio Thioune, raconte ses tourments. Confidences d’une femme blessée…

PAR MOR TALLA GAYE

« Je suis mariée à Cheikh Béthio Thioune depuis 2007, avec la bénédiction de Serigne Saliou (5e khalife de Cheikh Ahmadou Bamba, décédé le 8 décembre 2007, Ndlr). Mais présentement, j’ai des problèmes avec mon mari Serigne Cheikh Béthio. Et je pense que la moindre des choses entre un mari et sa femme, c’est de devoir s’expliquer quand il y a des problèmes. Mais le marabout ne m’a même pas appelé pour qu’on en discute. Pis, il appelle certains de mes proches pour me mettre en mal avec eux.

Notre couple a commencé à battre de l’aile en 2011, mais comme je suis engagée dans une procédure de divorce avec Cheikh Béthio, je ne veux pas entrer dans les détails.

J’étais en de bons termes avec le marabout, il m’avait même offert un véhicule et une maison à Oumoul Khourrah à Touba. Mais quand il y a eu ces problèmes, le marabout a récupéré le véhicule et quand j’ai pris un taxi pour me rendre à Touba, Cheikh Béhio a appelé ses disciples pour que je n’entre pas dans la maison. Pourtant, j’avais confié cette maison à mon frère et à sa femme qui y vivaient. Mais quand les disciples du Cheikh sont venus, ils ont corrigé sévèrement mon frère, pour le contraindre à quitter la maison, puis ils ont attaché ses mains par derrière. C’est ainsi que j’ai dû quitter cette maison de force, laissant derrière moi mes effets personnels, une mallette, mes habits et l’ensemble de mes bagages.

« Cheikh Béthio m’a appelée au téléphone pour me dire qu’il me répudie !

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