dimanche, mai 12, 2024

L’étudiante sénégalaise qui a tué son bébé France, vit avec un homme de 63 ans !

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La femme arrêtée vendredi soir à Saint-Mandé a reconnu être la mère de la fillette retrouvée morte sur la plage de Berck-sur-Mer le 20 novembre et l’avoir volontairement noyé. Mise en examen pour assassinat samedi après-midi, elle risque la perpétuité.

Son acte était prémédité. La mère de la fillette retrouvée morte il y a dix jours sur la plage de Berck-sur-Mer a expliqué aux enquêteurs de la police judiciaire de Lille et au juge d’instruction qu’elle s’était rendue dans cette station balnéaire du Pas-de-Calais avec  » l’intention de mettre fin aux jours de son enfant.

Elle a été mise en examen pour assassinat samedi après-midi et placée en détention provisoire, a indiqué son avocate Me Fabienne Roy-Nansion à la sortie du tribunal de Boulogne-sur-Mer. Elle  » réalise ce qu’elle a fait et exprime des remords, a rapporté son avocate Me Fabienne Roy-Nansion.  » Elle ne cherche pas à se trouver des excuses. Au contraire, elle dit n’être pas défendable, a ajouté l’avocate, après la mise en examen pour assassinat de sa cliente.

Selon un communiqué du parquet de Boulogne-sur-Mer publié samedi après-midi, la petite fille s’appelait Adélaïde et était âgée de 15 mois. Sa mère  » l’a déposée vivante sur la plage alors que la marée montait, précise encore le parquet. Comme vous le révélait MYTF1News, samedi matin, cette femme de 36 ans, arrêtée vendredi soir à Saint-Mandé, en banlieue parisienne, est passé aux aveux lors de sa garde à vue. Déférée peu après 14 heures au parquet de Boulogne, elle a été mis en examen pour assassinat et son placement en détention provisoire a été requis. Elle risque la perpétuité.

Son enfant pas compatible avec sa vie de couple

Lors de son audition, elle aurait expliqué avoir eu du mal à gérer cette enfant avec sa vie de couple.  » Elle ne s’était jamais rendue dans cette ville, dont seul le nom a retenu son attention, précise encore le parquet. Après avoir laissé sa fille, elle est rentrée à son domicile, qu’elle n’a plus quitté, hermétique au moindre appel à témoins. La jeune femme, Fabienne Kabou, 36 ans, est d’origine sénégalaise et de nationalité française, selon le parquet.

Sans travail, sans ressources, étudiante en philosophie, elle vit à Saint-Mandé avec un homme de 63 ans à qui elle a expliqué à son retour avoir remis sa fille à sa mère pour qu’elle soit prise en charge au Sénégal.  » Lui aussi affirme qu’il n’a eu aucun écho de la disparition de l’enfant, dit le parquet. Le compagnon serait le père de l’enfant, a précisé à l’AFP le parquet qui dit toutefois ne pas en avoir la preuve.

Les enquêteurs ont identifié la suspecte grâce à des témoignages obtenus  après diffusion de communiqués et aux recoupements faits à partir des fichiers  de police : la jeune femme était inscrite au Fichier national des étrangers.

Marche blanche à Berck

Au moment même où cette femme comparaissait devant le juge, une marche blanche était organisée à Berck-sur-Mer en hommage à la fillette par un collectif d’anonymes qui s’est formé sur les réseaux sociaux

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