L’Union européenne est aujourd’hui à nouveau en mesure d’afficher une certaine cohésion sur le dossier syrien. Une unité retrouvée, vingt-quatre heures après le désaccord public lors du G20 de Saint-Pétersbourg. L’Allemagne a, en effet, accepté ce samedi 7 septembre, à Vilnius, ce qu’elle avait refusé la veille en Russie : signer, comme les autres membres de l’UE, l’appel initié par Washington pour qu’une » réponse claire et forte soit apportée aux attaques chimiques en Syrie.
Le secrétaire d’Etat américain John Kerry et la chef de la diplomatie européenne Catherine Ashton, à Vilnius ce 7 septembre 2013. REUTERS/Susan Walsh/Pool
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