jeudi, avril 25, 2024

L’amant de Delphine Jubillar témoigne: « Nous pensions vivre près d’Albi, idéalement dans une ferme avec un poulailler »

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« Elle me manque terriblement ». Dans une interview donnée au Parisien, celui qui était devenu l’amant de Delphine Jubillar se confie. Tous deux s’étaient rencontrés sur Internet à l’été 2020.  L’homme se dit particulièrement attristé par sa disparition soudaine. Il assure qu’ils avaient envisagé s’installer ensemble. 

« Nous avions clairement évoqué le projet de nous installer ensemble d’ici le printemps, mais sans brusquer les choses et sans faire de mal à nos partenaires respectifs. Nous pensions vivre près d’Albi, idéalement dans une ferme avec un poulailler. Quitte à s’installer d’abord chacun de notre côté pour y aller progressivement… Nous avions le sentiment, l’un comme l’autre, de toucher du doigt le bonheur et c’est ce que nous n’arrêtions pas de nous dire », souffle-t-il dans une interview du Parisien, reprise par nos confrères du Dauphiné. 

Delphine et son mari étaient en instance de divorce. Ils vivaient toujours sous le même toit au moment de la disparition de la jeune femme.

Le mari de Delphine Jubillar en garde à vue

L’amant qui témoigne dans les colonnes du Parisien serait l’une des dernières personnes à avoir communiqué avec la jeune femme. « Le dernier message que Delphine m’a adressé, un peu avant 23 heures, est une photo sur laquelle elle apparaissait en tenue de nuit, douchée et prête à aller se coucher », raconte-t-il. 

Six mois jour pour jour après la disparition de Delphine Jubillar, son mari et deux autres personnes de sa famille ont été placés mercredi en garde à vue. Cédric Jubillar, intérimaire d’une trentaine d’années, a été arrêté « hors de son domicile » et placé en garde à vue, tout comme sa mère et son beau-père.

En instance de divorce, Cédric Jubillar avait signalé la disparition de son épouse dans la nuit du 15 au 16 décembre du domicile familial de Cagnac-les-Mines, une ancienne cité minière de 3.000 habitants, près d’Albi. Après une première procédure pour « disparition inquiétante », une information judiciaire avait été ouverte à Toulouse pour « enlèvement, détention ou séquestration », les enquêteurs privilégiant la piste criminelle.

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