De nos jours, certains parmi nous, pour être riches, ont fait de l’héritage des orphelins leur butin de prédilection. Ils ont même fait pire. Car, ils ont tué une progéniture dans l’œuf de sa mère innocente. Ou ils ont froidement sacrifiés la vie d’un fils, d’une épouse ou d’un frère sur l’autel démoniaque du paradis terrestre. Ils se vantent de leurs bonus tout en crachant dans la paume du démuni sans aumône. Et pourtant, ils ignorent qu’ils partiront un jour nu et dépourvu, sans la moindre aiguille, sans la moindre pièce de monnaie, sans aucune propriété.
Ecoutez cette chronique société de EMMANUEL BOUBA YANGA intitulée « Des richesses souillées de plaisirs amers »