« La beauté du paysage, la qualité des productions locales » ainsi que « l’identité forte et l’authenticité préservée ». S’y ajoute la diversité culturelle et religieuse entre autres. Voilà autant d’atouts qui promettent une meilleure attractivité de la Casamance. C’est du moins ce qui ressort du diagnostic présenté lors de cet atelier de restitution tenu ce mardi 28 janvier dans la capitale du Fouladou.
Toutefois ce diagnostic présenté aux acteurs koldois a révélé quelques obstacles à lever à pour une meilleure mise en valeur de ce potentiel. Parmi ces contraintes on peut noter l’épineuse question de l’enclavement.
En effet, une seule ligne aérienne en l’occurrence Paris-Cap Skiring relie la Casamance à l’étranger. A cela s’ajoute le problème de connectivité entre les zones de productions et de tourisme. Sans oublier qu’il existe des zones en Casamance non couvertes par le réseau téléphonique et où la connexion, internet reste encore un luxe. Ce qui ne facilite pas la promotion du tourisme à travers la digitalisation, a-t-on relevé pour le déplorer.
A rappeler que les résultats de ce diagnostic vont guider le travail de construction d’une stratégie d’attractivité de la Casamance et d’une signalétique de marque prévu en 2020 dans le cadre d’un nouveau programme conduit par le partenariat Entente-Grand Est avec le soutien du fonds conjoint franco-sénégalais.
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