L’arrêt des opérations de déminage dans les villages abandonnés de la Casamance continue de faire des réactions. Les plaidoyers des acteurs de développement et des élus locaux se multiplient. Récemment c’est le président du conseil département de Goudomp dans le Balantacounda qui est monté au créneau pour exiger des belligérants que le déminage des villages infestés par ces engins de la mort se poursuive. Ceci pour permettre aux populations du sud de retourner dans leurs plantations, champs et rizières abandonnés en toute sécurité a expliqué M Bocoum.