Au lendemain de la conférence de presse de François Fillon, l’hebdomadaire affirme que les enquêteurs n’ont trouvé aucun indice du travail de son épouse.
Par ailleurs, le « Canard » affirme que les enquêteurs n’ont trouvé aucun indice matériel du travail de Penelope Fillon. De nouvelles révélations qui viennent parasiter la défense de l’ancien premier ministre, alors en pleine contre-offensive médiatique.
Dans le détail, Penelope Fillon aurait perçu en août 2002 « 16.000 euros d’indemnités, soit l’équivalent de cinq mois de salaire », alors qu’elle avait retrouvé un mois plus tôt un emploi auprès du suppléant de son mari, Marc Joulaud, selon l’hebdomadaire satirique. Le « Canard » ajoute qu’elle aurait également perçu, en novembre 2013, « 29.000 euros de primes » au terme de son « dernier contrat ».