Le Code minier de 2003 a fait perdre à l’État du Sénégal la bagatelle de 400 milliards de francs CFA. Le texte est » incitatif et attractif pour capter des investisseurs, mais il fait perdre de l’argent au pays.
C’est pourquoi le coordonnateur des organisations de la société civile pour une meilleure gouvernance des ressources minérales au Sénégal, Abdoul Aziz Diop, qui ramène ce chiffre, appelle à la mise en œuvre de la nouvelle réglementation. » Ce nouveau Code respecte les droits de l’homme et environnementaux (consacre) un programme social minier institutionnalisé, l’instauration d’un fonds d’appui et de développement pour les collectivités locales qui abritent ces industries minières, égrène-t-il dans les colonnes de L’AS de ce mercredi, en marge d’une visite à Khondio, à 7 km de Mboro.
Source:setal