Immigrée slovène, Melania débarque aux États-Unis en 1996. 20 plus tard, la mannequin pourrait devenir first lady. Architecte de formation, cette femme suit partout son mari de 24 ans son aîné. Une belle plante qui n’ouvre jamais la bouche, selon ses détracteurs. Il y a quelques jours Melania Trump donnait sa première interview devant faire face à une question directe : « Qu’est-ce qui vous a attirée chez Donald? » « Son esprit. Il est impressionnant, il est charmant, il a une énergie incroyable », a-t-elle répondu.
« Moi j’aime beaucoup la femme qui est derrière »
L’épouse du multimilliardaire ne devrait pas être perdue à la Maison Blanche, elle qui jongle déjà entre cinq fabuleuses résidences, dont un triplex à Manhattan estimé à 100 millions de dollars. La photographe belge de la famille Trump décrit madame comme une parfaite mère au foyer. « Moi j’aime beaucoup la femme qui est derrière. Il a une femme qui parle cinq langues, qui est très effacée, qui est vraiment une force tranquille. Il y a une paix dans leur maison. Il n’y a pas 25 nounous, elle s’occupe des enfants », a-t-elle commenté.
Troisième épouse
La troisième épouse du candidat républicain dit suivre l’actualité de près. Elle appelle son mari plusieurs fois par jour pour lui donner son avis. « Est-ce que je suis toujours d’accord avec lui ? Non. Et je le lui dis. Je lui donne mon avis, mon opinion, parfois il m’écoute et parfois pas », a-t-elle encore expliqué.
Européenne naturalisée américaine, décrite comme cultivée par ceux qui la côtoient
Face aux critiques qui taxent son mari de stupide, sexiste, raciste, démagogue ou vulgaire, Melania reste posée : « Nous sommes préparés, on a la peau dure ». Européenne naturalisée américaine, décrite comme cultivée par ceux qui la côtoient, madame Trump parle le slovène, l’anglais, l’italien, l’allemand et le français.
Source: RTLInternational