Accusée d’avoir profané l’image de la communauté mouride dans son émission » Seetu bi », Amina Poté fait porter le chapeau à ses accompagnants. Néanmoins, elle présente ses excuses non sans quelques piques à l’encontre des sites internet. C’est vrai que nous avons bon dos.
Non contente de s’être moqué des victimes de la bousculade de Mina, l’animatrice Amina Poté fait encore parler d’elle. Cette fois-ci, elle est accusée d’avoir profané l’image du mouridisme. Dans Seetu bi du 12 octobre dernier, l’animatrice qui aime se faire accompagner de » bongoman » s’est véritablement lâché au rythme de la danse » na mourité, na baye fallé ».
Une transformation de « Na Goré» qui a eu le mérite de mécontenter une bonne partie de la communauté mouride présente sur Internet. Décision a été prise de lui rendre la monnaie de sa pièce. En quoi faisant ? En demandant à la TFM de recadrer l’animatrice et ses invités qui à en croire l’administrateur de la page Touba mosquée, » jouent avec la conviction d’une majorité de Sénégalais ». Une mise en garde qui a fait l’objet de plus de 3000 partages sur Facebook.
Quand elle a appris que c’est elle qui fait l’actualité sur le réseau social, l’animatrice qui semblait dépassée par les événements s’est retirée un instant en laissant les commandes de son émission à Guèye Teranga. Après avoir essuyé ses larmes, Amina Poté est revenue à l’antenne pour présenter ses excuses à la communauté mouride. Elle s’est défaussée sur ses accompagnants qu’elle appelle » Xaléyi ».
À l’en croire, elle n’est pas responsable des dérapages que ces derniers peuvent commettre dans son émission. Amina a aussi saisi l’occasion pour solder ses comptes avec les sites internet. Lesquels à son avis, sont à l’origine de tous ses maux.
Mais nous lui rappelons qu’elle n’est pas la seule animatrice qui présente une émission interactive sur le Petit écran. Si elle est toujours au-devant de l’actualité et toujours pas en bien, c’est seulement à elle qu’elle doit s’en prendre. Fais ton introspection au lieu de chercher la petite bête à la presse ligne. Qui, soyez-en rassurés, toi et tes semblables, sera toujours à l’affût pour dénoncer vos moindres fadaises. Qu’il ne vous en déplaise.
Source:www.setal.net