Depuis l’ouverture de la campagne électorale en prélude des locales du 29 juin, la violence gagne de plus en plus de terrain.
Cette violence se fait sous plusieurs formes. Elles son verbales, physiques surtout. Déjà un mort par accident (cortège) a été enregistré à Dahra. Des militants rivaux ont failli s’en venir à coups de machettes à Grand-Yoff. Des journalistes tabassés à Rufisque, c’était hier. Un militant de Rewmi, d’idrissa Seck, à Keur Massar, atteint à la tête à coup de machette. Pourant des messages de paix ont été lancé.
La violence, il faut le dire, n’est pas un phénomène nouvel au Sénégal en général et électorale en particulier. Pour rappel, le Député Demba Diop a été assassiné en 1967 à Thiès. L’ex président Leopold Sédar Senghor a échappé à une tentative d’assassinat en 1967, Me Babacar Sèye, ex président du Conseil constitutionnel, adjoint a été assassiné en 1993, la tentative d’assassinat en 2013b de Talla Sylla, sans compter l’assassinat de l’ex président du Conseil régional de Ziguinchor, El hadji Oumar Lamine BADJI à Sindian le 30 décembre 2006.
Source: .setal