lundi, avril 29, 2024

Nogi Dieng: «Qu’on me laisse avec mon vieux, il me fait plaisir et me rend heureuse»

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Elle fait le buzz sur la toile. Nogi Dieng, à l’état-civil Nogaye est depuis quelques jours au centre d’une vive polémique. Son péché est d’avoir posté des vidéos amateurs sur Internet. Le Top-modèle affichait ses étreintes avec un blanc d’un âge assez avancé. Assez pour qu’elle soit livrée à la vindicte populaire. Face à L’Obs, elle rejoue la scène, le film de sa vie et l’épisode de ses photos nues en entracte. Nogi dit tout…

On vous connaît à travers vos photos trash sur Internet. Que pouvez-vous nous dire de plus sur vous ?

A l’état-civil, je m’appelle Nogaye Dieng, mais je suis plus connue sous le pseudo de Nogi Dieng qui veut dire quelqu’un de nanti en juif. C’est un de mes amis qui m’a donné ce surnom et depuis, tout le monde m’appelle ainsi. J’ai 25 ans. Je suis née au Sénégal, à Pikine, mais j’ai grandi aux Parcelles Assainies. Depuis 4 ans, je vis entre la France, l’Italie et Londres. J’y évolue en tant que top-modèle. Avant cela, j’ai suivi une formation en Tourisme-hôtellerie-gestion. Je me suis arrêté en deuxième année. J’ai également un peu taquiné le mannequinat au Sénégal. Malgré une petite expérience dans les défilés et autres podiums, je n’ai pas réussi à percer. Ma frêle corpulence n’était pas bien vue à l’époque. On me reprochait souvent d’être trop maigre. Paradoxalement, c’est ce qui marche en Europe.

Vous avez donc choisi de vous établir en Europe pour percer dans le mannequinat ?

Non pas vraiment ! Si j’ai choisi d’émigrer en Europe, c’est pour pouvoir venir en aide à ma famille, particulièrement à ma mère et à mon jeune-frère. Je suis fille unique et de surcroît, je suis l’aînée de ma mère. C’est elle qui a vendu tous ses bijoux pour pouvoir me faire partir. Mon père est lui établi au Japon depuis plusieurs années. Avant d’aller en Italie, c’est moi qui me débrouillais pour payer la location de notre appartement. À mon arrivée, je n’avais pas dans l’idée de poursuivre ma carrière dans le mannequinat, les choses sont venues naturellement. J’habitais chez un de mes oncles à Torino et tout le monde m’apostrophait pour me dire que j’avais une taille de mannequin. C’est une fois à Milan que tout est allé très vite. Un jour alors que je marchais dans la rue, j’ai été interpellée par un Italien à bord de sa voiture. Il a stoppé net sur mes pieds et m’a demandé si j’étais mannequin. C’est grâce à cette rencontre inattendue que je me suis lancée dans le mannequinat professionnel, en intégrant de grandes agences. De fil en aiguille, je me suis fait un nom dans le milieu. Mes débuts n’étaient pas faciles, il y avait en plus de la barrière linguistique certains critères de beauté à appliquer tous les jours. Mais grâce à Dieu et à force de persévérance, j’ai pu tirer mon épingle du jeu. Aujourd’hui, je gagne bien ma vie.

Quel a été le déclic pour que vous soyez autant sollicitée ?

Je pense que c’est la publicité que j’ai faite pour le parfum « Cavalli. »

source: l’obs

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