En dépit de son statut de papy grabataire de la scène politique, Moustapha Niasse tient aujourd’hui plus qu’hier à rester à la tête de son Parti, l’Alliance des forces de progrès (AFP). Pour cause, par la voix du porte-parole du Bureau politique réuni, ce 10 mars 2014, Malick Diop, le chef de file des progressistes a déclaré à qui veut l’entendre que sa succession n’est pas à l’ordre du jour.
D’autant que l’actuel président de l’Assemblée nationale a martelé : “tant qu’il me restera un souffle de vie, je serais à la tête de l’Afp. Je suis là pour former les jeunes”. Plein d’entrain, il ironise: “Même avec une canne, je ne laisserai pas l’Afp”. Alors, Me Abdoulaye Wade n’est plus le seul leader du troisième âge à vouloir coûte que coûte mourir à la tête de son Parti.
Source actusen