mercredi, avril 24, 2024

Benoît Sambou revient sur l’affaire de ANPEJ

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Le ministre de la Jeunesse, de l’Emploi et de la Promotion des valeurs civiques, Benoît Sambou, ne mâche pas ses mots. Dans cet entretien, il fait la revue des programmes d’emplois que son département est en train de dérouler, révèle ses ambitions politiques et revient sur les incidents qui l’ont opposé à Alioune Souaré lors des travaux de la revue du Code électoral.


Il y a une controverse dans le processus de réintégration des personnels des trois agences pour l’emploi des jeunes qui ont été dissoutes. Où en êtes-vous avec ce dossier ?

Dans le cadre de la mise en œuvre de la politique de l’emploi, nous avons pensé restructurer le secteur. Nous avions un certain nombre d’agences qui intervenaient dans le dispositif d’accompagnement et de création d’emplois, mais les missions se chevauchaient ou se recoupaient sans qu’il y ait une efficacité réelle dans la prise en charge de cette problématique. C’est pour cela que nous avons pris la décision de regrouper les différentes missions de ces agences dans une seule agence. Qui dit rationalisation et regroupement dit forcément pertes d’emplois, ce qui est regrettable, mais c’était un impératif. La nouvelle agence (Anpej) aura besoin d’à peu près 85 personnes et nous avons donné instruction au Directeur (Abdoulaye Timbo) de recruter prioritairement le personnel des agences dissoutes. Nous sommes aussi en discussion avec le ministère des Finances, pour pouvoir solder les retards de salaires dus à la gestion de ces agences, parce qu’au moment où l’on procédait à la dissolution de ces agences, certaines d’entre elles accumulaient déjà un retard dans le paiement des salaires.

« Je n’étais pas au courant que Birame Faye a refusé le poste de Secrétaire général de l’Anpej.

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