Il a fait plus que Bara Gaye, mais a eu aussi plus de chance que lui. Puisqu’en plus du délit d’offense au chef de l’Etat, ceux d’atteinte à la Sûreté de l’Etat et d’outrage à un ministère de culte dans l’exercice de ses fonctions ont été retenus conte Sidy Lamine Niass. Mais le Doyen des juges qui a hérité du dossier l’a placé sous contrôle judiciaire.
Le dernier jour de l’année 2013 a été sans doute le plus long de Sidy Lamine Niass, Président directeur général du groupe Walfadjri. Mais les prières et autres interventions ont plaidé en sa faveur. Et le mollah du Front de Terre de recouvrer la liberté après son bref face-à-face avec le Doyen des juges, Mahawa Sémou Diouf. Il s’en sort finalement avec une » liberté surveillée ».
L’Obs