La direction commerciale de Senelec précise, selon l’Obs d’aujourd’hui que le préjudice subi par la société nationale d’électricité sur la facturation de Satrec-Vitalait n’a pas atteint le milliard Cfa. Conformément à la loi, la facture est arrêtée à 300 millions Cfa. Une somme que la société Satrec de Chaikou Haidouz s’est acquittée depuis 10 mois. En fait après la publication de l’Info par L’Obs des multinationales qui ont perdu des parts de marché grâce à la percée de Satrec-Vitalait commençaient à dénigrer l’entreprise dans le monde des affaires pour freiner son élan. Et le péché de l’homme d’affaires Haidouz, c’est de vouloir faire de son entreprise une propriété exclusivement Sénégalaise en refusant toutes les offres de rachat proposées par des étrangers. « On lui a proposé plus de 50 milliards Cfa pour racheter son usine. Ce qu’il a refusé pour éviter que les 1000 employés qui sont là se retrouvent dans la rue. Parce qu’il connais le système des multinationales. Si jamais, il leur vendais l’usine, ils allaient virer tout le personnel pour y mettre leurs hommes. Grâce à Satrec, le Sénégal a atteint son autosuffisance de consommation de lait par tête d’habitant à des prix à la portée de toutes les bourses », confient des cadres de Satrec.
gfm.sn