Amnesty International demande aux autorités maliennes l’ouverture d’une enquête impartiale suite à la disparition et à la mort de plusieurs militaires qui s’étaient rebellés au camp de Kati, le 30 septembre dernier. L’organisation parle d’une » purge menée par un groupe » qui se considère au-dessus de la loi. Un groupe qui chercherait à étouffer toute dissidence parmi les hommes qui ont soutenu le général Sanogo.
Entrée du camp militaire de Kati, près de Bamako, Mali, le 3 octobre 2013. AFP PHOTO/HABIBOU KOUYATE
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Source: Rfi