Oui et la déclaration du jour est précisément signée Stéphanie de Monaco. La soeur du prince Albert II vient d’affirmer « J’ai dû être une éléphante dans une vie antérieure ». Je répète lentement … « J’ai dû être une éléphante dans une vie antérieure ». Vous avez saisi toute la profondeur de cette déclaration intime ?
Alors, mes amis, je sais que vous arrivez tout doucement à la fin de cette matinale… Les premiers effets de la fatigue liés à une observation attentive de l’actualité vous guettent. Alix a fini son troisième thermos de thé. Thomas a épuisé le stock de jus d’orange du salon invités. Serge se repasse en boucle le best-of du Grand Jojo. Jules vient de commencer à écrire sa chronique quotidienne…
Mais tout cela ne doit pas vous empêcher d’avoir une méditation philosophique. Je vous rappelle donc le sujet de celle-ci : « Stéphanie de Monaco a dû être une éléphante dans une vie antérieure ». La princesse précise même que ces pachydermes représentent six tonnes de bonheur. Et quand je vois comme il est difficile dans cette vie ici-bas de trouver soixante, cinquante… même cinq petits kilos de bonheur, je comprends que Stéphanie soit sous le charme de ces deux grosses bébêtes à trompe.
La princesse nous explique qu’elle a remplacé ses robes de soirées par un survêt et des baskets pour aller s’occuper, dès le lever du soleil, de ses deux amis. Elle fait le tour de l’enclos et les animaux la suivent. Elle les bichonne, elle les caresse, et elle nous annonce la bonne nouvelle qu’aucun de vos journalistes ne nous a donnée ce matin : « les poils des éléphantes commencent à repousser ». Si ça n’est pas un scoop !
Alors qu’elles ont été à deux doigts d’être euthanasiées, Baby et Népal ont droit à une retraite de princesse. Là où nous nous contentons de donner des croquettes à nos chats ou des nonosses à nos toutous, la princesse a choisi de s’occuper de deux elephas maximus, le petit nom scientifique des nouveaux amis de Stéphanie.
Bon… je vois que vous n’avancez pas beaucoup dans le devoir de philo que je vous ais donné…
Allez, comme les bonus arrivent et l’ami Jules est sur le point de terminer sa chronique, je vais vous donner un coup de main. L’éléphant est associé à la mémoire, à la sagesse, à la longévité, la prospérité, la bienveillance et au… père. Quand on connaît l’amour profond que Stéphanie a toujours voué à son père, le prince Rainier, je me demande s’il n’y a pas quelque chose de Freudien dans la belle histoire d’amour qu’elle connaît aujourd’hui avec ses amis de Roc-Agel.
Et puis, Stéphanie partage avec eux deux caractéristiques qui l’ont toujours sauvée au fil de sa vie mouvementée. Des défenses quand on l’attaque et aussi une mémoire d’éléphant pour se protéger de tous ceux qui lui ont fait du mal. Dès lors, oui, Stéphanie est bel et bien la réincarnation d’un éléphant !
Comme vous n’avez pas été trop bon, je vous donne déjà le sujet de la dissertation de demain :
Comme un ouragan,
La tempête en moi
A balayé le passé,
Allumé ma vie
C’est un incendie
Qu’on ne peut plus arrêter.
Allez, vous avez un jour ! Soyez bons !
Patrick Weber – Chroniqueur royal
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Source: rtlinfo