vendredi, mars 29, 2024

Le parfait incompétent, Macky SALL démissionne et inaugure une sécheresse en pleine zone inondée !

Ne ratez pas!

‘’ Si les empires, les grades, les places ne s’obtenaient pas par la corruption, si les honneurs purs n’étaient achetés qu’au prix du mérite, que de gens qui sont nus seraient couverts, que de gens qui commandent seraient commandés. »- William Shakespeare.

Mon pays va mal, trop mal. Depuis l’arrivée aux affaires du ramasseur de pierre, la paupérisation de la plèbe s’est, paraît-il, périclitée. Le diamant bleu n’écoule pas depuis plusieurs semaines. L’eau potable est devenue une denrée rare bien que notre patrie possède l’une des ressources hydrauliques les plus abondantes de l’Afrique occidental.

Du coup, les populations sont contraintes de charrier seaux, bidons, bassins, bouteilles et récipients à la main, pour aller à la recherche de la source de vie, dans des puits creusés grouillants d’agents pathogènes nocifs à l’organisme. Conséquence, cette attitude survivaliste décorant l’enfer quotidien des sénégalais désemparés, ignorant la composition chimique du sol, nous expose à de funestes maladies hydriques tel que le choléra.

Face à ce tableau ignominieux et fort de cette situation d’urgence, la majeure partie des hôpitaux, en manque criard d’eau potable ont tout bonnement et simplement, cadenassé leurs blocs opératoires. Désormais, pas de soins chirurgicaux, seul le service minimum est assuré. Ce sauve qui peut se passe de commentaires.
À dire vrai, ce spectacle écœurant reflète un paradoxe puisque le Sénégal, encerclé au nord et à l’est par le fleuve Sénégal (1700 km), au sud par le fleuve Casamance et Gambie (1150 km), à l’ouest par l’océan atlantique, au centre par les bras de mer du Sine et du Saloum, sans omettre le lac Tanma et le lac de Guiers ; apparait comme étant l’un des châteaux d‘eau les plus affluants d’Afrique.

Cette abondance pourtant tant enviée, a fini de mettre à nu la faillite de cette gouvernance bancale dans sa gestion des réseaux hydrographiques. Cette carence en eau courante, s’ajoutant à cette inflation galopante impose une véritable gymnastique à ce peuple qui ne cesse de fulminer son désarroi. Ces nouvelles habitudes d’approvisionnement et de consommation, décuplant les dépenses quotidiennes des ménages, ne contrastent point avec le contexte de pauvreté qui sévit actuellement sous nos cieux.

Dans ces conditions plus qu’énigmatiques, c’est une fois de plus la bourse des citoyens qui est mise à rude épreuve car il faudra budgétiser cette nouvelle dépense inopinée, immergeant par ce fait les millions d’abonnés de la SDE dans d’indénombrables problèmes. Les factures forfaitaires de la SDE nonobstant la piteuse qualité de l’eau distribuée, n’épargnent que cette élite prédatrice au pouvoir aiguisant une fois de plus la complainte, devenue entretemps un slogan national « Deuk bi dafa mare-réme ».

À signaler que de cette pénurie criante d’eau, s’est greffé, une inondation qui dure depuis quelques mois. Sans assainissement et eau salubre, les 66 milliards prétendument investis dans la lutte contre la stagnation des eaux pluviales, ne sont qu’une grosse supercherie, exaltant une fois de plus, le sabotage de tous ces ingrats vis-à-vis du peuple. Les mares glauques et putréfiées agressant cette plèbe, débordée et épuisée, jusque dans ces derniers retranchements, démontrent à suffisance que ce pouvoir périmé a choisi de propulser notre nation à l’encan.

Et pourtant, ces sinistrés de plus en plus déshydratés, non contents d’être délaissés, sont réprimés par les forces de l’ordre juste parce qu’ils réclament la mise en place d’un réseau d’assainissement pour drainer les eaux pluviales. Il est certain qu’une bonne canalisation aurait permis d’acheminer ces eaux stagnantes vers l’océan atlantique, le fleuve Sénégal ou le lac de Guiers. L’eau pourtant savamment exploitée, vaut plus que les ressources minières, les japonais en savent quelque chose. Curieusement, cette source vitale est devenue une véritable affliction dans notre société.

Comble du ridicule, pendant que l’on observe une fluctuation des débits des réservoirs naturels hydrauliques durant cette saison pluvieuse, le réseau de distribution d’eau connait un asséchement engendrant du coup une lancinante disette dans Dakar et ses environs. Quel paradoxe !

Manifestement, ces délestages sont provoqués par le désastreux état des canalisations, mal entretenues, dont il faut impérativement remplacer la majeure partie. En effet, selon, le nouveau ministre de l’hydraulique et de l’assainissement, Pape DIOUF ’’ cet incident est le cinquième sur cette conduite. En 2009, 2010, 2011, 2012 et 2013, elle a connu des dommages. Avec ces pannes répétitives, cette conduite ne pouvait plus supporter les pressions d’eau qui arrivent à l’une de ses parties. C’est ce qui a fait que les travaux prennent du temps, pour sécuriser Dakar.’’

Chose curieuse, ce marasme était donc prévisible. Et qu’a fait le gouvernement, pour résoudre ses embûches annoncées depuis fort longtemps ? Rien !

Si le joufflu était animé d’une bonne volonté, la crise de l’eau aurait été son unique préoccupation et ce depuis son investiture. Ce qui est plus grave, c’est son attitude sidérante face à ce fléau. Il est surprenant de constater que depuis son accession à la magistrature suprême qu’aucun investissement n’a été réalisé pour développer les infrastructures du réseau de distribution d’eau alors que la capitale Sénégalaise ne cesse de grandir. Cette faute d’investissements et de maintenance, fait que les robinets ne crachent que de l’air suite à l’arrêt de la desserte en eau, au grand détriment des ménages.

Toutefois, le parc des équipements d’adduction d’eau de la SDE date d’une époque lointaine. De plus, ces équipements dégradés du fait d’un manque d’entretien des pièces de rechange acquis au marché aux rebuts de ‘’Pakku Lambaye’’, ont engendré une chute brutale de la production. Concomitamment la demande exponentielle s’est envolée car submergée par l’explosion démographique et l’urbanisation anarchique durant ces dernières années. Cet état de fait a concouru à amplifier le déficit au cours de cette année.

En outre, ces installations étant obsolètes, ne peuvent plus par conséquent satisfaire la demande car les besoins en eau potable de la région de Dakar outrepassent largement les capacités de la centrale hydraulique de Keur Momar Sarr. Autrement dit, la demande est fortement supérieure à l’offre. Simultanément, le nombre de nouveaux raccordements n’a fluctué que d’une manière insignifiante.

Incapable d’honorer ses engagements, le gouvernement actuel de par sa paresse certifiée, a miné tout le corps social. Ainsi, l’inertie du ventru a fini de convaincre les plus sceptiques sur son inaptitude à pouvoir enrayer ce sinistre. Son impéritie cathédrale, associé à ses promesses virtuelles, exaltent à n’en plus douter que la voix de l’émergence n’est rien d’autre que de la tautologie.

Son unique dessein, étant d’enfoncer la piétaille dans le paupérisme, avec des sermons soporifiques juste pour engraisser illicitement son giron familial et son entourage immédiat. En effet, la concussion qui grangère le secteur hydrique a été initié par le ventripotent qui pourtant aime jouer aux durs. Ce bedonnant, de 2002 à 2003, de par des manigances délictueuses, après que de fortes commissions lui ont été remises, a bradé l’avenant N°1 aux français, actionnaires majoritaires de la SDE, en leur offrant sur un plateau d’argent la production et l’exploitation de l’eau potable.

Les responsabilités sont donc établies. Pour ce boursouflé et ses affidés, leurs saluts ne résident que dans les pots-de-vin et rétro commissions étant donné qu’ils ne sont pas décaissés par chèque ou virement. Il est notoire que cette pratique mafieuse permet de métamorphoser l’argent des contribuables sénégalais en bien privé.

En clair, les dérives de ce système défaillant, ponctuées par une prévarication endémique au sommet de l’État, corroborent que notre chère patrie traverse l’un des moments les plus sombres de son histoire. Rien n’est fait pour assouvir la béatitude des sénégalais car cette caste de parasites au sommet, au lieu de prendre en charge les priorités des populations, ne vise qu’à s’accaparer indûment des richesses de l’État.
Ainsi, au lieu de vaquer à l’installation progressive d’une politique cohérente d’assainissement, d’approvisionnement et d’extension des réseaux d’adduction de cette source de vie, permettant de doter le secteur hydraulique de projets structurants pour moderniser la desserte de l’eau ; le paumé s’est projeté dans des dépenses futiles.

Sur ce fait, le parc automobile des députés a été renouvelé à hauteur de 8 milliards, tandis que leurs salaires ont été rallongés de 150.000 FCFA, en plus des prébendes (sukeru koor). Ceux des DG augmentés de 5 millions de FCFA en plus d’une prime annuelle de 21 millions de FCFA. Non sans oublier, ceux des PCA, haussés de 4 millions de FCFA avec une indemnité annuelle de 16,8 millions de FCFA. Nous ne pouvons omettre l’achat d’un hélicoptère à 7 milliards, de bateaux de guerre à plus de 10 milliards, de la mise en place du sénat, rebaptisé conseil économique social et environnemental avec un budget de fonctionnement de 5 milliards de FCFA, où les émoluments sont passés de 700.000 FCFA à 2.000.000 FCFA. Voilà, le bilan de l’amasseur de pierrailles à la tête de ce pays.

Concomitamment, il offre le loisir à l’ancien ministre de l’hydraulique et de l’assainissement, Omar GUEYE de renouveler via des marchés de gré à gré, le parc automobile de la SONES. Ces marchés, ayant entrainés des fraudes à milliards et octroyés dans la plus grande opacité à l’ancien ministre de ministre de l’hydraulique et de l’assainissement, Oumar Gueye, sont en train d’occasionner des situations funestes qui risquent d’être irréparables.

Le moins que l’on puisse dire est que ces 914 millions de FCFA auraient pu permettre d’entretenir le réseau obsolète de la SDE et éviter non seulement la dégradation mais aussi les défaillances dans la distribution d’eau.

Toutefois, les sénégalais ont surtout du mal à comprendre que pendant que le bas-peuple vit dans la souffrance, la misère, la faim, le noir et la soif ; que Maréme FAYE parce que blinder par son ventripotent, prévarique le peu de ressources du contribuable sénégalais à New-York, en achetant un simple sac à main, à 2.000.000 de FCFA.

Cette dépigmentée n’a fait qu’imiter son collecteur de rocs, lui qui a offert gracieusement aux femmes de l’APR résidant aux États-Unis, la coquette somme de 200 millions de FCFA. À ce rythme, celui qui détient les rênes du pouvoir indique qu’il est plus obnubilé à dépouiller les maigres ressources du pays que d’atténuer les souffrances de cette plèbe déshydratée. Cet argent dilapidé, utilisé à bon escient, pourtant pouvait et devrait servir à assurer la maintenance, l’entretient et le renouvellement des tuyaux de la SONES ayant atteint leurs fins de cycle depuis belle lurette. Ainsi va la voix de l’émergence : le parti avant la patrie.

Tous ces scandales indiquent que ce pusillanime a perdu toute once d’humanité à cause des poignées de milliards de FCFA. Visiblement, ce géologue et ses affidés qui devaient nous acheminer vers le bien-être, se révèlent être les plus grands parasites de notre économie. Son autorité perdue à jamais, le ventru, de par des procédés illicites essaient désespérément de reprendre la main, en vain, car cette population déjà rassasiée de sa gouvernance hasardeuse, l’a déjà renié.

Le joufflu qui a fini de crucifier la plèbe dans un abîme total, doit avoir le courage de rendre le tablier avant qu’il ne soit trop tard. Son incurie marquée par une boulimie prédatrice commence à attiser l’indignation populaire. Cette situation qui n’a fait que trop duré va amener, dans les jours qui viennent, ce vaillant peuple sénégalais à se diriger tout droit vers le palais de la république pour déguerpir le chef de la transition Macky SALL étant donné qu’il refuse de sortir par la grande porte…

Éternel Wadiste
Moïse RAMPINO

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