L’offre russe de contrôle international de l’arsenal chimique syrien est une manœuvre politique aux yeux de l’opposition syrienne, qui dénonce des atermoiements inutiles. Mais l’accueil est bienveillant, pour une bonne partie de la communauté internationale. Intérêt et prudence, disait ce mardi matin le chef de la diplomatie française. Entretien avec Ignace Leverrier, diplomate en poste pendant 7 ans en Syrie, chercheur et animateur du site Un œil sur la Syrie.
Des civils syriens dans les ruines d’un bâtiment détruit par un bombardement à Alep, le 9 septembre dernier. REUTERS/Abdalghne Karoof