Le kenya a enclenché un processus visant à se retirer du Statut de Rome et donc à ne plus reconnaître l’autorité de la Cour pénale internationale. La CPI a mauvaise presse au Kenya, où le président Kenyatta et le vice-président Ruto sont accusés de crimes contre l’humanité, mais, plus généralement aussi, sur tout le continent. Le risque est désormais de voir d’autres pays suivre la voie du Kenya, comme l’explique Phil Clark, spécialiste des questions de justice internationale à la School of Orientals and Africans studies de Londres.
Siège de la CPI à La Haye, Pays-Bas. Wikimédia
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