Les Etats-Unis et la France envisagent toujours des frappes ciblées contre certains sites stratégiques pour le régime syrien, même sans le Royaume-Uni. Les députés britanniques ont rejeté cette option jeudi, proposée par le Premier ministre David Cameron. Cette décision a été accueillie avec satisfaction par les partisans du Hezbollah, au Liban. Le mouvement chiite a envoyé des milliers d’hommes soutenir le régime de Bachar el-Assad ces derniers mois.
Des musulmans chiites brandissent les portraits du leader du Hezbollah, Sayyed Hassan Nasrallah (G) et du président syrien Bachar el-Assad lors d’un rassemblement contre une éventuelle intervention étrangère en Syrie. Sanaa, le 30 août 2013. REUTERS/Khaled Abdullah
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