» La question de la commercialisation arachidière s’est également invité au débat de la CSA. » Les paysans font plus de 70% de la population », rappelle la CSA qui trouve nécessaire de les impliquer. Et Mamadou Diouf trouve que l’heure est de passer » aux mesure correctives ».
Le secrétaire Général du CSA trouve » inadmissible qu’on fixe le prix à 200 fr et des operateurs véreux achètent dans des circuits parallèles le prix à 130 fr». Pour pallier à un tel sort, » il faut que l’Etat implique les paysans dans le processus de fixation des prix et dans le circuit de commercialisation des produits agricoles », propose-t-il.
Sokhna Faye
Source: derniereminute.sn