Ce sont bien des hommes fidèles à l’ancien président François Bozizé qui sont derrière les violences de ce week-end dans le nord-ouest de la République centrafricaine. Ce lundi 9 septembre, autour de la ville de Bossangoa, c’est un calme précaire qui semble avoir dominé la journée. Mais dans la localité de Bouca, à une centaine de kilomètres plus à l’est, des incursions d’hommes armées ont été signalées. Médecins Sans Frontières a compté plusieurs morts et une trentaine de blessés par balle.
Un groupe de partisans de l’ancien président centrafricain François Bozizé, à Bouca. AFP PHOTO PIERRE AUSSEILL
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